Le gouvernement souhaite prendre le problème des hausses de loyers à la relocation à bras le corps. C'est un bon point. Reste à trouver la méthode qui prennent en compte les attentes des locataires (souvent exploités avec des loyers hors de prix dans certaines villes ou régions) et celles des propriétaires bailleurs (l'investissement doit rester intéressant pour qu'ils fournissent de nouveaux bien pour le marché locatif). Bref, ce n'est pas simple!Aujourd'hui, le décret du blocage des loyers lancé par Cécile Duflot va en ce sens. Du moins, selon une certaine partie de la population (comme vous avec pu le lire sur mon blog avec les réactions des politiques, des syndicats immobiliers, des associations de locataires, des propriétaires, ...).
74% des français acceptent l'idée d'encadrer (ou bloquer) les loyers à l arelocation. Mais qu'en est il rééllement? De combien les loyers augmentent en moyenne lors d'une relocation? Quelles zones géographiques sont concernées?
La nouvelle loi "blocage des loyers" : les conséquences, ses effets, son application, ...
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08/07/2012
03/07/2012
Les français prudents...
Face au futur décrét, les français se posent beaucop de questions. 52% d'entre eux redoutent qu'il y ait moins de bailleurs à cause de cette mesure! Le chiffre semble énorme et provient de Century 21 (dont les intérêts sont d'avoir un maximum de bien en gestion locative). Dans la suite de son étude, l'agence immobilière donne un chiffre de 74% des français qui se déclarent favorables à un encadrement des loyers pour freiner les hausses de loyers. Le blocage immédiat ne semble pas être du goût des sondés.
Parmis les craintes des français (55%), il y a aussi le crainte de voir stopper les travaux d'amélioration faits par les bailleurs. Pourtant, le décret prévoit une hausse possible uniquement en cas d'amélioration dans le bien immobilier. Il reste à définir si un rafraichissement des sols est considéré de la même manière qu'un changement de fenêtre par exemple.
Parmis les craintes des français (55%), il y a aussi le crainte de voir stopper les travaux d'amélioration faits par les bailleurs. Pourtant, le décret prévoit une hausse possible uniquement en cas d'amélioration dans le bien immobilier. Il reste à définir si un rafraichissement des sols est considéré de la même manière qu'un changement de fenêtre par exemple.
08/06/2012
L'UNPI réagit au décret
L'UNPI (union nationale des propriétaires immobiliers), par le biais de son président M. Perrin, fustige ce futur décret sur le blocage des loyers. Il craint ainsi que le marché locatif ne s'améliore pas, que certains propriétaires refusent de louer et que les investisseurs ne rénoveront plus leur logement.
C'est donc un avis en opposition avec la ministre Duflot, qui est à l'origine de ce décret, et des différents confédérations de locataires (CNL, CGL). Ces derniers estiment en effet que le décret respecte tant les locateurs (stopper la hausse des loyers, louer de biens en meilleur état, ...) que les bailleurs ("petits propriétaires" ou investisseurs).
C'est donc un avis en opposition avec la ministre Duflot, qui est à l'origine de ce décret, et des différents confédérations de locataires (CNL, CGL). Ces derniers estiment en effet que le décret respecte tant les locateurs (stopper la hausse des loyers, louer de biens en meilleur état, ...) que les bailleurs ("petits propriétaires" ou investisseurs).
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06/06/2012
La FNAIM réagit contre les loyers trop hauts
La FNAIM (fédération nationale de l'immobilier, organisation fédérant des agences immobilières) et son président René Pallincourt souhaitent qu'un nouveau contrat entre bailleurs et locataires soit défini. Ils le nomment "bail puissance 3".
Des bailleurs louent des logements à des loyers inférieurs de 50% aux loyers de marché. En contre partie, les bailleurs auraient une compensation pour conserver l’équilibre de cet investissement immobilier. Cette compensation passe par une déduction de 100% sur leurs revenus fonciers et une exonération totale de plus-values au bout de 15 ans (en référence aux dernières lois votées sous l'ère Sarkozy).
Des bailleurs louent des logements à des loyers inférieurs de 50% aux loyers de marché. En contre partie, les bailleurs auraient une compensation pour conserver l’équilibre de cet investissement immobilier. Cette compensation passe par une déduction de 100% sur leurs revenus fonciers et une exonération totale de plus-values au bout de 15 ans (en référence aux dernières lois votées sous l'ère Sarkozy).
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